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Dépistage du cancer colorectal : action !
mis à jour le 1er novembre 2004

Le cancer colorectal est responsable de 15 000 décès annuels en France. Les pouvoirs publics français ont annoncé le dépistage de masse du cancer colorectal dans une vingtaine de départements.
Le dépistage par recherche de sang occulte dans les selles par le test Hémoccult° doit être proposé aux personnes âgées de 50 à 74 ans, tous les deux ans.
Déjà en 1998, en en savait assez pour mettre en œuvre une véritable politique opérationnelle de dépistage

Dépistage de masse organisé du cancer colorectal : des résultats en France aussi
Les performances du dépistage de masse en deux temps (Hémoccult° puis investigation colique) du cancer colorectal peuvent paraître modestes à l'échelon individuel, mais à l'échelon collectif, l'effet est réel sur la mortalité par cancer colorectal
 Revue Prescrire n°255, novembre 2004 : 775-777
Risque familial de cancer colorectal
Le risque de cancer colorectal augmente avec le nombre de parents au premier degré atteints ou si le cancer a été diagnostiqué avant l'âge de 45 ans chez un parent au
premier degré
 Revue Prescrire n° 243, octobre 2003 : 700
Dépister le cancer du côlon (suite)
Baisse confirmée de la mortalité par cancer colorectal grâce au dépistage de masse
 Revue Prescrire n°236, février 2003 : 130
Épidémiologie et prévention du cancer colorectal
Un manuel qui apporte l'essentiel des données sur le thème, rédigé par un des principaux spécialistes du sujet
 Revue Prescrire n°229, juin 2002 : 468
Hémoccult° (suite)
L'ablation des adénomes coliques constitue bien une prévention primaire du cancer colique
 Revue Prescrire n°215, mars 2001 : 220
La coloscopie virtuelle pour détecter les polypes ?
Un examen prometteur à mieux évaluer
 Revue Prescrire n°209, septembre 2000 : 605
Une étude française en faveur du dépistage de masse
En Bourgogne, une équipe motivée, avec la participation effective des praticiens de terrain a obtenu dans une étude comparative une excellente adhésion de la population au dépistage de masse. Les auteurs concluent : " les autorités sanitaires disposent […] de pratiquement tous les éléments pour décider d'une politique sur le plan national "
 Revue Prescrire n°195, mai 1999 : 377-378
La revue Prescrire appelle au dépistage : réactions
La revue Prescrire est-elle indépendante ? Les conditions du succès d'un dépistage de masse sont-elles réunies ? Priorité à la généralisation des dépistages des cancers du sein et du col de l'utérus pour la Direction de la santé : la prise de position ferme de la revue Prescrire en 1998 en faveur du dépistage de masse du cancer colorectal suscite un débat intense
 Revue Prescrire n°192, février 1999 : 155-157
Pour des dépistages cohérents du cancer colorectal en France
En 1998 en France, l'organisation du dépistage de masse du cancer colorectal était inexistante, et son utilisation à l'échelon individuel était freinée. On en savait pourtant déjà assez pour agir, encourager les cliniciens au dépistage individuel des sujets à risque, donner un statut légal au test Hémoccult°, et mettre en œuvre une véritable politique opérationnelle de dépistage
 Revue Prescrire n°187, septembre 1998 : 620
Le dépistage de masse dans la population générale : des recommandations en partie convergentes
En 1998, une dizaine de consensus, guides de pratique ou rapports officiels relatifs au dépistage étaient publiés, dont pour la France : un rapport ministériel établi par un groupe d'experts en 1994, un rapport de synthèse d'un Comité scientifique mandaté par le Directeur de la santé en 1997, et une conférence de consensus réalisée sous l'égide de l'Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé
 Revue Prescrire n°187, septembre 1998 : 616-617
Cancer colorectal : de bonne raisons pour mettre en œuvre les dépistages
Les polypes adénomateux sont de vrais états précancéreux. Le dépistage diffère selon qu'il s'adresse à des sujets à risque élevé ou qu'il s'agisse de cas sporadiques dans la population générale. Dans ce dernier cas, la stratégie la mieux étudiée est le dépistage en deux temps : test Hémoccult° à la recherche de sang occulte dans les selles, puis coloscopie chez les sujets Hémoccult° positifs. L'efficacité du dépistage de sa bonne organisation, de la réalité des contrôles qualité des tests et des testeurs, et de l'adhésion importante des populations
 Revue Prescrire n°187, septembre 1998 : 609-623
Dépistage du cancer colorectal : Action !
En santé publique, il y a un temps pour tout : pour l'analyse d'un problème, le lancement d'études d'observations épidémiologiques et d'essais cliniques ; pour le recueil et l'analyse des données ; pour la décision politique ; pour l'action ; pour le bilan. En 1998, pour le dépistage du cancer colorectal, c'était déjà le temps des décisions politiques et de l'action
 Revue Prescrire n°187, septembre 1998 : 561
Quel dépistage du cancer colorectal dans les familles à risque ?

Le dépistage est indispensable dans les familles atteintes de polypose colique familiale (risque de cancer de 100 %) ou de syndrome de cancer colorectal autosomique dominant (risque de 50 %). Le risque de cancer colorectal est de 13 % en cas d'atteinte d'un parent au premier degré, et de 25 % en cas d'atteinte de deux parents au premier degré

 Revue Prescrire n°156, novembre 1995 : 781
Plus d'une vingtaine d'articles au total sur le thème