En 2014, en Europe, les victimes d’effets indésirables graves de médicaments continuent à éprouver les pires difficultés pour être reconnues comme telles. Il est temps de prendre conscience du caractère inacceptable de cette situation, et d'agir.
Une conférence-débat a été consacrée à ce thème lors de la cérémonie de la Pilule d’Or Prescrire, à Paris, le 30 janvier 2014.
DES (diéthylstilbestrol), Vioxx°, Mediator°, pilules dites de 3e ou 4e génération : ces médicaments, parmi d'autres, évoquent des effets indésirables parfois dramatiques à l'échelle individuelle, et sur l'entourage des victimes.
En 2014, en Europe, les victimes d'effets indésirables graves de médicaments continuent à éprouver les pires difficultés pour être reconnues comme telles. Il est temps de prendre conscience du caractère inacceptable de cette situation, et d'agir.
Une conférence-débat a été organisée par Prescrire sur ce thème le 30 janvier 2014.
3 interventions permettant d'ouvrir le débat :
- Écouter les voix des victimes
Intervention de Millie Kieve, fondatrice d'April, association britannique de victimes d'effets indésirables médicamenteux psychiatriques
> VIDÉO
- "Gueules cassées du médicament" : d'épreuves en épreuves
Intervention de Sophie Le Pallec, présidente d'Amalyste, association française de conseils et d'aide aux patients victimes des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson
> VIDÉO
- D'abord ne pas nuire ; puis comprendre et agir
Intervention de Bruno Toussaint, directeur éditorial de Prescrire
> VIDÉO
Pour en savoir plus:
> Tous les documents de la Conférence-débat
©Prescrire 30 janvier 2014