En 2021, un essai randomisé en double aveugle, nirmatrelvir + ritonavir (Paxlovid°) versus placebo, a montré, chez des patients atteints de covid-19 sans signe de gravité, non vaccinés et ayant au moins un facteur de risque de forme grave, une réduction du risque d'hospitalisation pour covid-19 ou de mort, à condition de commencer le traitement dans les 5 jours suivant le début des symptômes. La plupart des patients de cet essai étaient infectés par le variant Delta du Sars-CoV-2. En pratique dans ce contexte, l'association nirmatrelvir + ritonavir est utile à certains patients pour réduire le risque de forme grave de covid-19, à condition de gérer avec soin les multiples interactions médicamenteuses auxquelles ce traitement expose.
Qu'en est-il face au variant Omicron, avec lequel le risque de forme grave est moindre qu'avec le variant Delta ? Une étude épidémiologique portant en Israël sur la période janvier-mars 2022, alors que le variant Omicron était largement prédominant, surtout les sous-lignages BA.1 et BA.2, apporte quelques éléments de réponse.
Cette étude a été effectuée à partir de bases de données d'un réseau de soins couvrant environ la moitié de la population israélienne... [Texte complet dans l'Application Prescrire, lecture 5 minutes]
Élaboré par la Rédaction
©Prescrire 16 septembre 2022
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