Une étude cas/témoins publiée en septembre 2020 a comparé l'exposition à la progestérone vaginale (Utrogestan° ou autre) de 174 femmes ayant une cholestase intrahépatique de la grossesse (cas) et de 522 femmes enceintes indemnes de ce trouble (témoins). L'âge de la mère, le nombre de grossesses, l'indice de masse corporelle (IMC) et l'âge gestationnel à l'accouchement ont été pris en compte (1). Les femmes ont été recensées sur une période de 5 ans dans une maternité israélienne. Dans cette maternité, un traitement par progestérone était débuté à partir de la 16e semaine de grossesse quand un col court était détecté à l'échographie systématique. La progestérone était utilisée sous forme micronisée, à raison de 200 mg par jour par voie vaginale (1)
Accéder au sommaire du numéro :