Mi-2021, l'analyse de cas rapportés en Europe et dans le monde a conduit le Comité européen de pharmacovigilance (PRAC) à conclure que les vaccins covid-19 à ARN messager tozinaméran (Comirnaty°) et élasoméran (Spikevax°) exposent très rarement à des myocardites (1). Le plus souvent, ces myocardites étaient survenues dans les 14 jours après la deuxième injection chez des adolescents ou des hommes âgés de moins de 30 ans, et ont régressé en quelques jours. Des données étatsuniennes allaient dans le même sens
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