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| Coxibs : des nouveautés qui ne tiennent pas leurs promesses | ||
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| mis à jour le 1er décembre 2005 | ||
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| Dès leur commercialisation, les "coxibs" ont été promus auprès des prescripteurs et médiatisés en direction du grand public, en minimisant largement leurs effets indésirables potentiels. L'illusion n'a pas résisté à l'examen des faits et à quelques années de large prescription : les "coxibs" ne dispensent d'aucune précaution à prendre avec les anti-inflammatoires non stéroïdiens classiques | ||
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| Valdécoxib : AMM suspendue en Europe | ||
| Bextra° n'était pas commercialisé en France, mais une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour l'Union européenne avait été accordée. Une suspension tardive mais bienvenue. | ||
| Revue Prescrire n°267, décembre 2005 : 825 | ||
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| Parécoxib : rejet de l'AMM aux USA | ||
| Une mesure cohérente | ||
| Revue Prescrire n°266, novembre 2005 : 736 | ||
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| Coxibs déremboursés en Belgique | ||
| Célécoxib (Celebrex), étoricoxib, parécoxib, valdécoxib déremboursés | ||
| Revue Prescrire n°265, octobre 2005 : 660 | ||
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| Célécoxib (Onsenal°) | ||
| Cancer colorectal : pas de place en prévention | ||
| Revue Prescrire n°265, octobre 2005 : 652 | ||
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| Coxibs : l'EMEA lénifiante | ||
| Des demi-mesures qui confirment que, pour l'EMEA, l'intérêt des firmes passe avant l'intérêt des patients, qui restent exposés aux dangers de médicaments qui n'apportent aucun progrès thérapeutique | ||
| Revue Prescrire n°264, septembre 2005 : 589 | ||
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| Le célécoxib encore sur le marché : au profit de qui ? | ||
| Début 2005, les dégâts cardiovasculaires des coxibs ont été confirmés et diverses mesures de restriction d'utilisation ont été prises dans divers pays. Le célécoxib reste commercialisé | ||
| Revue Prescrire n°263, juillet-août 2005 : 512-513 | ||
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| Parécoxib : retrait en Suisse | ||
| Cette décision est cohérente avec le dossier d'évaluation, et le souci d'éviter aux patients des effets indésirables injustifiés. Cependant, au 1er juin 2005, en France et dans l'Union européenne, le parécoxib reste sur le marché. | ||
| Revue Prescrire n°263, juillet-août 2005 : 508 | ||
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| Coxibs, suite : retrait du valdécoxib | ||
| En France, le parécoxib (Dynastat°), dont le valdécoxib est un métabolite, reste sur le marché (comme dans d'autres pays). Il en est de même pour le célécoxib (Celebrex°), à un prix inchangé | ||
| Revue Prescrire n°261, mai 2005 : 350 | ||
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| Coxibs, suite : demi-mesures et maintien sur le marché | ||
| Les agences du médicament se contentent de demi-mesures contraignantes pour les prescripteurs mais non pour les firmes (nouvelles contre-indications et mises en garde), et laissent les patients exposés aux dangers | ||
| Revue Prescrire n°260, avril 2005 : 281 | ||
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| Des associations de patients passent à l'action | ||
| De plus en plus de patients et de consommateurs n'acceptent plus que les médicaments soient des objets de spéculations commerciale, politique et boursière | ||
| Revue Prescrire n°259, mars 2005 : 166 | ||
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| Publicité : une interdiction cinglante pour Celebrex° | ||
| La firme Pfizer écope d'une interdiction de publicité pour sa lettre d'"information" aux professionnels de santé, interdiction assortie de l'obligation pour la firme de diffuser un courrier rectificatif aux professionnels de santé | ||
| Revue Prescrire n°259, mars 2005 : 192 | ||
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| Coxibs : risques cardiovasculaires (suite) | ||
| Quand un AINS paraît justifié malgré les risques cardiovasculaires auxquels il expose, l'intérêt des patients est d'éviter les coxibs et d'en rester aux AINS classiques | ||
| Revue Prescrire n°258, février 2005 : 109 | ||
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| Valdécoxib : risque vasculaire et cutané | ||
| S'en tenir aux anti-inflammatoirs non stéroïdiens classiques | ||
| Revue Prescrire n°257, janvier 2005 : 23 | ||
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| Parécoxib : insuffisance rénale | ||
| CLes coxibs partagent les effets indésirables connus des AINS | ||
| Revue Prescrire n°257, janvier 2005 : 23 | ||
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| Rofécoxib (Vioxx°): arrêt de commercialisation (suite) | ||
| L'ensemble des coxibs semble exposer à un risque cardiovasculaire accru. Par ailleurs, au Canada, la prescription large du rofécoxib et du célécoxib a été suivie d'une augmentation des hospitalisations pour hémorragie digestive | ||
| Revue Prescrire n°256, décembre 2004 : 835 | ||
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| Hypertension artérielle sous coxib | ||
| Comme avec les autres AINS | ||
| Revue Prescrire n°255, novembre 2004 : 751 | ||
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| Coxib + antivitamine K : gare à l'interaction | ||
| Hémorragies mortelles, érosions digestives susceptibles de saigner | ||
| Revue Prescrire n°255, novembre 2004 : 751 | ||
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| Rofécoxib : arrêt de commercialisation | ||
| Un doublement du risque d'infarctus du myocarde et d'accidents vasculaires cérébraux est apparu sous rofécoxib après 18 mois de prise | ||
| Revue Prescrire n°255, novembre 2004 : 748 | ||
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| Coxibs et thromboses | ||
| Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) de la classe des "coxibs" entraînent plutôt plus de risques cardiovasculaires que les AINS classiques. Raison de plus pour en rester à ces derniers. | ||
| Revue Prescrire n°254, octobre 2004 : 669 | ||
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| Coxibs : remboursez ! | ||
| Les coxibs n'apportent pas d'avantage tangible aux patients par rapport aux AINS déjà disponibles ; et l'écart de prix entre coxibs et autres AINS n'est pas justifié. Quand les firmes concernées vont-elles rembourser la collectivité du trop-versé ? Quand le prix des coxibs sera-t-il ramené au même niveau que celui des anti-inflammatoires plus anciens ? | ||
| Revue Prescrire n°253, septembre 2004 : 579 | ||
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| Coxibs : pas mieux que les autres AINS | ||
| Confirmation tardive par les agences du médicament | ||
| Revue Prescrire n°253, septembre 2004 : 589 | ||
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| Une firme attaque en justice un bulletin indépendant membre de l'ISDB, et perd | ||
| Après la publication par une revue de thérapeutique indépendante d'un article critique sur l'évaluation du rofécoxib (Vioxx°), la firme MSD a attaqué cette revue en justice. Ce procès, perdu par la firme, est une victoire pour l'information indépendante de qualité | ||
| Revue Prescrire n°249, avril 2004 : 298-299 | ||
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| Valdécoxib (Bextra°) | ||
| Aussi décevant que les précédents coxibs | ||
| Revue Prescrire n°249, avril 2004 : 249-252 | ||
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| Troubles neuropsychiatriques : les coxibs aussi | ||
| Incriminer l'AINS devant des troubles neuropsychiques peut rendre service au patient. | ||
| Revue Prescrire n°239, mai 2003 : 347 | ||
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| Bilan des effets indésirables des coxibs notifiés en France | ||
| Premier bilan de notifications spontanées en France qui, même s'il ne permet pas de comparer le célécoxib et le rofécoxib du fait de l'absence de chiffres de vente, confirme un profil d'effets indésirables des coxibs globalement analogue à celui des autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), hormis les troubles ischémiques. | ||
| Revue Prescrire n°232, octobre 2002 : 670-675 | ||
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| Célécoxib et "essai CLASS" : un exemple de manipulations industrielles | ||
| Retour sur l'art de présenter sous un jour favorable un anti-inflammatoire non stéroïdien malgré des données peu probantes (publication "accélérée" de résultats avantageux, une série de distorsions favorisant le célécoxib, etc.). Conséquence : patients et soignants bernés au prix fort. Des enseignements à tirer pour chacun | ||
| Revue Prescrire n°231, septembre 2002 : 623-625 | ||
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| Pas moins de protecteurs gastriques avec Celebrex° | ||
| L'arrivée du célécoxib a coûté cher, sans diminuer la protection de protecteurs digestifs, alors que la moindre fréquence d'effets indésirables digestifs était son principal avantage revendiqué (sans preuve de bon niveau) | ||
| Revue Prescrire n°231, septembre 2002 : 622 | ||
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| Effets indésirables cardiovasculaires des coxibs | ||
| Tous les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris les coxibs, exposent au risque d'aggravation d'une hypertension artérielle ou d'une insuffisance cardiaque, et à un risque hémorragique en cas d'association à un antivitamine K. Les données disponibles font craindre un risque légèrement accru d'accidents thrombotiques graves sous rofécoxib par rapport aux autres AINS. Il est préférable de l'éviter chez les patients ayant une insuffisance coronarienne | ||
| Revue Prescrire n°231, septembre 2002 : 596-597 | ||
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| Ulcères graves sous célécoxib | ||
| Le célécoxib (Celebrex°) a été présenté comme ayant moins d'effets indésirables digestifs que d'autres AINS. En réalité, à la fin d'un essai célécoxib versus diclofénac versus ibuprofène, l'incidence des ulcères compliqués de perforation, saignement ou sténose a été similaire avec les 3 AINS | ||
| Revue Prescrire n°230, juillet/août 2002 : 512 | ||
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| Coxibs + anticoagulants oraux : gare aux interactions | ||
| Comme avec les autres AINS, l'association d'un "coxib" à un anticoagulant oral peut entraîner une augmentation de l'INR, et parfois des hémorragies et des érosions digestives susceptibles de saigner | ||
| Revue Prescrire n°225, février 2002 : 121-122 | ||
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| Prendre en compte l'effet hypertenseur des AINS | ||
| Comme les AINS "classiques", les "coxibs" peuvent augmenter la pression artérielle | ||
| Revue Prescrire n°223, décembre 2001 : 835-836 | ||
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| Troubles visuels et célécoxib | ||
| De rares cas de troubles visuels ont été décrits, lors de traitements par célécoxib et par d'autres AINS, à l'occasion des 22e journées françaises de pharmacovigilance | ||
| Revue Prescrire n°222, novembre 2001 : 757 | ||
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| AINS et insuffisance cardiaque | ||
| Chez les insuffisants cardiaques, l'utilisation des AINS, y compris les "coxibs", doit être évitée | ||
| Revue Prescrire n°220, septembre 2001 : 596-598 | ||
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| Interactions médicamenteuses des "coxibs", parmi d'autres AINS | ||
| Les "coxibs" partagent les risques d'interactions médicamenteuses communes à l'ensemble des AINS | ||
| Revue Prescrire n°219, juillet-août 2001 : 517 | ||
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| Les "coxibs" dans l'actualité | ||
| Un pharmacologue résume la situation des "coxibs" : il faut du recul et du temps, avant de savoir si une propriété pharmacodynamique (en l'occurrence l'inhibition "sélective" de la COX-2) représente ou non un véritable progrès thérapeutique pour les patients | ||
| Revue Prescrire n°217, mai 2001 : 392 | ||
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| Publicité Celebrex° interdite aux États-Unis | ||
| La Food and Drug Administration (FDA) a interdit du matériel promotionnel tendant à minimiser les risques liés à Celebrex°. | ||
| Revue Prescrire n°217, mai 2001 : 353 | ||
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| Célécoxib Celebrex° 100 mg | ||
| La vigilance reste de mise, quel que soit le dosage | ||
| Revue Prescrire n°217, mai 2001 : 345 | ||
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| Effets indésirables du rofécoxib (suite) | ||
| Le profil d'effets indésirables du rofécoxib est voisin de celui des autres AINS | ||
| Revue Prescrire n°216, avril 2001 : 277 | ||
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| Vioxx° à 1 centime le comprimé ! | ||
| Malgré les prix très élevés des nouveaux médicaments sur le marché français, la politique commerciale de certaines firmes peut aller jusqu'à vendre à des prix très bas et même invraisemblables pour s'implanter à l'hôpital et gagner ensuite sur le marché de "ville" | ||
| Revue Prescrire n°215, mars 2001 : 193 | ||
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| Célécoxib (Celebrex°) et arthrose ou polyarthrite rhumatoïde. Aussi décevant que le rofécoxib | ||
| Lorsque le célécoxib, puis un nouveau dosage, arrivent sur le marché français, le constat est le même que pour le rofécoxib. Les effets indésirables du célécoxib, et par conséquent les précautions d'emploi, sont les mêmes que ceux des autres AINS | ||
| Revue Prescrire n°212, décembre 2000 : 803-808 | ||
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| Effets indésirables du rofécoxib (suite) | ||
| Le suivi de pharmacovigilance du rofécoxib, en Grande-Bretagne, ne le différencie guère des autres AINS. Un doute persiste quant à un risque cardiaque particulier | ||
| Revue Prescrire n°211, novembre 2000 : 757 | ||
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| Rofécoxib (Vioxx°). Un antalgique AINS décevant | ||
| Lors de la commercialisation en France du premier anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) "inhibiteur spécifique de la cyclo-oxygénase de type 2 (anti-COX-2)", son dossier d'évaluation clinique n'apporte pas la preuve d'une efficacité antalgique supérieure à celle des autres AINS. Il ne démontre pas non plus que ses effets indésirables apportent un avantage clinique décisif sur les autres AINS | ||
| Revue Prescrire n°208, juillet-août 2000 : 483-488 | ||
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