Leuproréline (ELIGARD°) et certains cancers de la prostate

Chez les patients atteints d'un cancer de la prostate localement avancé, ou localisé et à risque élevé d'aggravation, une dépression androgénique par un agoniste de la gonadoréline (alias Gn-RH ou LH-RH) en association avec une radiothérapie réduit la mortalité liée au cancer (1,2).

La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Faites le choix de l'indépendance

et accédez à tous nos contenus

à partir de 19€ par mois

Abonnez-vous