Mépolizumab (NUCALA°) et asthme

Chez les patients atteints d'asthme persistant sévère, c'est-à-dire gênés en continu et limités dans leurs activités physiques avec de fréquents épisodes de gêne respiratoire, des doses élevées de corticoïdes inhalés sont souvent nécessaires (1). En cas d'échec d'une corticothérapie inhalée bien conduite, une corticothérapie orale par prednisolone est un premier choix, sur une période de quelques jours, voire au long cours, à dose minimale efficace (1). Malgré ses limites, la corticothérapie orale a une meilleure balance bénéfices-risques que l'ajout d'autres médicaments à visée antiasthmatique tels que l'omalizumab, un anticorps monoclonal anti-IgE (1,2).

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