Pembrolizumab (KEYTRUDA°) et carcinome urothélial

Chez les patients atteints d'un carcinome urothélial avec extension régionale ou des métastases, une chimiothérapie à base d'un sel de platine est souvent proposée en première ligne. En cas d'échec, le traitement n'est pas consensuel. Des taxanes tels que le docétaxel et le paclitaxel sont des options de deuxième ligne. La vinflunine, un vinca-alcaloïde, a une balance bénéfices-risques défavorable (1,2). Le nivolumab et l'atézolizumab, des anticorps monoclonaux immunostimulants agissant sur la voie du récepteur PCD-1 et autorisés dans l'Union européenne dans cette situation, n'ont pas d'intérêt démontré pour allonger la durée de vie des patients (1,3).

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