Certains enfants atteints d'un trouble neurologique grave ont une hypersalivation (alias sialorrhée) chronique. Elle est parfois à l'origine d'une gêne importante. Le traitement n'est pas consensuel, avec plusieurs options : méthodes de rééducation ; ablation des glandes salivaires ; médicaments dont des atropiniques, notamment la scopolamine en patch (dispositif transdermique) utilisée hors autorisation de mise sur le marché (AMM en France). La diminution de la sécrétion de salive est un des effets pharmacologiques des atropiniques (1,2)
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