Sorafénib : parfois utile, mais de nombreux effets indésirables graves Le sorafénib est un cytotoxique inhibiteur de tyrosine kinases, impliquées dans l'angiogenèse et la croissance tumorale. Il a, notamment, une action anti-VEGF (de l'anglais vascular endothelial growth factor). Dans l'Union Européenne, il est autorisé, par voie orale, dans certains cancers hépatiques, rénaux et thyroïdiens. En France, des copies, dont les noms commerciaux comportent la dénomination commune internationale, sont disponibles avec les mêmes indications que le princeps Nexavar° (1,2).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous
Avis sur les médicamentsCabozantinib (CABOMETYX°) et carcinome hépatocellulaire après échec du sorafénib
DiversSorafénib - Nexavar°. Cancers différenciés de la thyroïde : toxique, et sans allongement démontré de la survie