Lenvatinib (LENVIMA°) + pembrolizumab (KEYTRUDA°) et cancer de l'endomètre avancé ou en rechuteLes cancers de l'endomètre touchent surtout des femmes âgées de plus de 60 ans (1). À un stade avancé, le traitement initial repose sur la chirurgie, complétée par une radiothérapie et des antitumoraux. La chimiothérapie de référence comporte notamment un sel de platine. En cas de maladie réfractaire ou de rechute, quand une chimiothérapie est envisagée, il n'y a pas de protocole consensuel. Parmi les options figurent notamment la doxorubicine (une anthracycline) et le paclitaxel (un taxane), en monothérapie. Par analogie à ce qui est fait dans des cancers de l'ovaire, une nouvelle chimiothérapie à base d'un sel de platine est parfois proposée quand la rechute survient plus de six mois après une précédente chimiothérapie à base d'un sel de platine (1à3). À ce stade de la maladie, la durée médiane de survie est d'environ un an (4).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous
Avis sur les médicamentsLenvatinib (KISPLYX°) + pembrolizumab (KEYTRUDA°) en 1re ligne dans le cancer du rein avancé