Olaparib (LYNPARZA°) en traitement "d'entretien" après une 1re ligne de chimiothérapie dans certains cancers avancés de l'ovaireDans l'Union européenne, l'olaparib est autorisé notamment en traitement dit d'entretien (durant 2 ans, voire plus) chez des femmes atteintes d'un cancer de l'ovaire ayant une mutation sur le gène BRCA 1 ou 2, et en rémission complète ou partielle après une première ligne de chimiothérapie comportant un sel de platine (1). Il est autorisé aussi en traitement "d'entretien" en association avec le bévacizumab après une première ligne de chimiothérapie comportant un sel de platine + bévacizumab, en cas de mutation du gène BRCA1/2 ou "d'instabilité génomique" (une autre forme d'anomalie chromosomique des cellules tumorales). Il n'est pas démontré que le bévacizumab, (un anticorps anti-angiogenèse) en ajout à une chimiothérapie puis poursuivi en traitement "d'entretien" apporte un intérêt clinique, alors qu'il expose à de nombreux effets indésirables graves (2).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous
Avis sur les médicamentsOlaparib (LYNPARZA°) en adjuvant dans certains cancers du sein avec mutation BRCA
Avis sur les médicamentsOlaparib comprimés (LYNPARZA°) et cancer de l'ovaire après une seule ligne de chimiothérapie
Avis sur les médicamentsOlaparib (LYNPARZA°) en association avec le bévacizumab et cancer de l'ovaire