Trastuzumab déruxtécan (ENHERTU°) et cancers gastriques HER-2 positif, après échec d'une chimiothérapie comportant du trastuzumabEnviron 20 % des patients atteints d'un adénocarcinome de l'estomac ou de la jonction gastro-œsophagienne ont des cellules tumorales qui surexpriment la protéine HER-2. Chez ces patients, quand le cancer s'aggrave pendant ou après une chimiothérapie cytotoxique associée avec du trastuzumab (un anticorps anti-HER-2), il n'y a pas de traitement consensuel. Diverses chimiothérapies sont utilisées, notamment à base d'irinotécan ou de paclitaxel, avec un allongement de la durée médiane de survie de l'ordre de 2 à 3 mois par rapport à des soins symptomatiques seuls (1à3). Dans des essais cliniques comparatifs, le ramucirumab (un anticorps anti-VEGF), seul ou associé avec le paclitaxel, a allongé de 1 à 2 mois la durée médiane de survie par rapport à un placebo ou à l'association placebo + paclitaxel (3). Proposer des soins symptomatiques sans chimiothérapie est aussi une option (1).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous