Durvalumab (IMFINZI°) + trémélimumab (IMJUDO°) et certains carcinomes hépatocellulaires avancés en 1re ligne

Chez les patients atteints d'un carcinome hépatocellulaire avancé ou inopérable avec une fonction hépatique préservée et en bon état général malgré la maladie, quand un médicament antitumoral est envisagé, le sorafénib (un inhibiteur de tyrosine kinases impliquées dans l'angiogenèse et la croissance tumorale) est une option. Une autre option est l'association d'atézolizumab (un anticorps immunostimulant dirigé contre la protéine PCD-L1) avec du bévacizumab (un anticorps qui inhibe l'angiogenèse et la croissance tumorale). Dans un essai comparatif chez 501 patients, cette association a allongé la durée médiane de survie par rapport au sorafénib (19 mois versus 13 mois), au prix d'un surcroît d'événements indésirables graves (chez 38 % des patients versus 31 %), notamment digestifs (1,2).

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