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"Dépannage" de traitement chronique en pharmacie : autorisé pour une période de 1 mois, renouvelable 2 fois

En pharmacie d'officine, "dépanner" un patient dont l'ordonnance a expiré, afin d'éviter l‘interruption d'un traitement chronique, est une pratique ancienne. En France, en 2008, ce "dépannage" a été encadré par les pouvoirs publics. Les pharmaciens ont alors été autorisés, sous conditions, à dispenser une boîte de médicament contenant le plus petit nombre d'unités de prise, remboursable par la Sécurité sociale. Un seul "dépannage" était autorisé (1)

Risques professionnels liés aux pesticides : inertie des pouvoirs publics

Les risques liés à l'exposition professionnelle aux pesticides sont de plus en plus documentés et les demandes d'indemnisation sont en hausse régulière (1,2). Mais en France, d'après la Commission nationale de la déontologie et des alertes en matière de santé publique et d'environnement (cnDAspe), la prévention de ces risques est au point mort (a)(3)

S'intéresser aux aidants dans leur diversité

En France, les aidants, ou proches aidants, sont précieux pour la continuité et la qualité des soins. Ils ont fait l'objet de plusieurs enquêtes et de rapports publiés ces dernières années par des acteurs du public, du privé, notamment des associations. Doit-on les considérer comme une aide naturelle, familiale et bénévole, ou comme des acteurs de terrain sur qui repose une charge importante nécessitant soutien, formation, voire rémunération (a)(1à3) ?

Marie Le Clainche-Piel : « Comment rendre le don d'organe juste et efficace ? »

Marie Le Clainche-Piel est sociologue, chargée de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) au sein du laboratoire multidisciplinaire Cermes 3

Faire intervenir des clowns à l'hôpital : pour soulager enfants, parents et soignants

Depuis une quarantaine d'années, de nombreux hôpitaux dans le monde ont intégré des programmes d'intervention de clowns dans leurs services (1)

Mortalité maternelle : un risque de suicide à repérer pour mieux le prévenir

Depuis 1996, Santé publique France publie tous les 3 à 5 ans un rapport de l'enquête nationale sur les morts maternelles en France. Cette enquête inclut les morts de femmes liées à la grossesse, à l'accouchement ou à leur suite (alias post-partum). Le post-partum couvert par cette enquête va jusqu'à un an après l'accouchement, « et pas seulement jusqu'à 42 jours comme dans la plupart des pays (…), [car] l'avancée des connaissances montre que la santé des femmes reste affectée par la grossesse au-delà de ces 42 jours » (1)