Progestatifs : méningiomes (suite)

Le Centre régional de pharmacovigilance d'Amiens a rapporté une série de 5 observations de méningiomes qui lui ont été notifiées entre 2012 et 2017 (1). Il s'agit de 5 patientes qui prenaient une contraception hormonale ou une hormonothérapie substitutive de la ménopause à base d'un progestatif tel que l'étonogestrel, l'acétate de cyprotérone, la progestérone, le nomégestrol ou la médrogestone. Trois patientes avaient un traitement estrogénique associé (en application cutanée ou patch) (1).

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