En 2018, une équipe française a étudié les effets arythmogènes de la drospirénone, un progestatif qui a des effets antiandrogéniques. Cette étude a inclus 498 femmes en âge d'être enceintes en bonne santé, sous contraception hormonale ou non. Parmi les 291 femmes sous contraception hormonale estroprogestative, 137 femmes prenaient une contraception hormonale à base de lévonorgestrel (Minidril° ou autre) et 62 à base de drospirénone (Jasmine°, Jasminelle° ou autre) (1)
Accéder au sommaire du numéro :