Sartans et inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) : encore des grossesses exposées, et des mortsLes Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) de Tours, Paris Descartes, Toulouse et Lille ont analysé 35 cas de fœtopathies graves imputées à une exposition in utero à un antagoniste de l'angiotensine II, alias sartan, ou un inhibiteur de l'enzyme de conversion (IEC) enregistrés dans la base de données française de pharmacovigilance entre octobre 2008 et décembre 2017 (1). 29 femmes enceintes ont été exposées à un sartan, 6 à un IEC.La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous
DiversEt si elle était enceinte ? Inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), sartans, aliskirène : foetotoxicité parfois mortelle