Latanoprost et autres "prosts" en collyre : avortements spontanés

 Courant 2022, une équipe japonaise a publié une analyse des notifications d'interruptions spontanées de grossesse imputées à des analogues de la prostaglandine F2alpha utilisés en collyre qui étaient enregistrées dans les bases de données de pharmacovigilance étatsunienne (Faers) jusqu'en 2018 et japonaise (Jader) jusqu'en 2019 (1). Les analogues de la prostaglandine F2alpha en collyre sont autorisés dans des hypertensions intraoculaires et comprennent : le bimatoprost (Lumigan° ou autre), le latanoprost (Xalatan° ou autre), le travoprost (Travatan° ou autre) et le tafluprost (non commercialisé en France).

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