Sirolimus, évérolimus : kystes ovariens Une synthèse méthodique avec méta-analyse publiée fin 2021 a inclus 7 études qui ont apporté des données sur la fréquence des kystes ovariens chez des femmes traitées par un immunodépresseur inhibiteur de mTOR après une transplantation : sirolimus (Rapamune°) et évérolimus (Certican°). Le temsirolimus (Torisel°), un autre inhibiteur de mTOR et précurseur du sirolimus, n'a pas été étudié dans cette méta-analyse, n'étant pas utilisé après une transplantation (1).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous