Alpha glycérylphosphorylcholine : accidents vasculaires cérébraux Dans la maladie d'Alzheimer, divers déficits en neurotransmetteurs semblent en jeu : le déficit de l'activité choline acétyltransférase, conduisant à une diminution de la synthèse d'acétylcholine, est le plus constant. D'où, depuis les années 1990, la commercialisation d'inhibiteurs de la cholinestérase, visant à augmenter les concentrations d'acétylcholine au niveau cérébral, qui se sont avérés exposer à des effets indésirables disproportionnés compte tenu de leur efficacité minime et transitoire (1,2).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous