Paracétamol, grossesse et perturbation endocrinienne urogénitale : des études peu probantesLe paracétamol est le médicament de premier choix en prise ponctuelle dans le traitement des douleurs légères à modérées et de la fièvre, y compris pendant la grossesse (1). Ses effets indésirables sont surtout des atteintes hépatiques graves en cas de surdoses (1). Pendant la grossesse, il a longtemps été réputé sans danger particulier (2). Cependant, en fin de grossesse, le paracétamol est un facteur de fermeture prématurée du canal artériel (3). Il n'est pas exclu que l'exposition au paracétamol, notamment à des doses élevées, ait des conséquences sur le développement neuropsychique de l'enfant ayant été exposé in utero (4).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous
DiversParacétamol pendant la grossesse : sans danger particulier pour l'enfant. Pas plus de malformations, ni de cryptorchidies, ni d'asthmes
Femmes enceintes et médicamentsParacétamol en fin de grossesse : un facteur de fermeture prématurée du canal artériel
Femmes enceintes et médicamentsAntalgiques non spécifiques pendant la grossesse et développement neuropsychique : peu de données probantes
Effets indésirablesMédicaments perturbateurs endocriniens : les principaux effets sur les systèmes hormonaux humains