Paracétamol, grossesse et perturbation endocrinienne urogénitale : des études peu probantes

Le paracétamol est le médicament de premier choix en prise ponctuelle dans le traitement des douleurs légères à modérées et de la fièvre, y compris pendant la grossesse (1). Ses effets indésirables sont surtout des atteintes hépatiques graves en cas de surdoses (1). Pendant la grossesse, il a longtemps été réputé sans danger particulier (2). Cependant, en fin de grossesse, le paracétamol est un facteur de fermeture prématurée du canal artériel (3). Il n'est pas exclu que l'exposition au paracétamol, notamment à des doses élevées, ait des conséquences sur le développement neuropsychique de l'enfant ayant été exposé in utero (4).

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