Inhibiteurs de Janus kinases : surcroît d'effets indésirables graves et de morts par rapport aux anti-TNF alphaLes inhibiteurs de Janus kinases sont des immunodépresseurs. Dans l'Union européenne, certains d'entre eux sont autorisés par voie orale dans diverses maladies inflammatoires chroniques, rhumatologiques, intestinales ou cutanées, sans progrès démontré par rapport aux immunodépresseurs déjà disponibles, notamment des anti-TNF alpha. Ces inhibiteurs de Janus kinases sont : l'abrocitinib (Cibinqo°), le baricitinib (Olumiant°), le filgotinib (Jyseleca°), le tofacitinib (Xeljanz°) et l'upadacitinib (Rinvoq°) (a)(1). Deux autres inhibiteurs de Janus kinases sont autorisés en cancérologie, notamment dans la myélofibrose : le fédratinib (Inrebic°) et le ruxolitinib (Jakavi°) (1,2).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous