Consommation abusive de protoxyde d'azote : myéloneuropathies (suite)En 2023, une équipe française a publié une analyse de 525 cas de troubles liés à un usage abusif de protoxyde d'azote, notifiés au réseau français des centres d'évaluation et d'information sur la pharmacodépendance et l'addictovigilance (CEIP-A), de 2012 à 2021 (1).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous