Anti-VEGF : dissections aortiques

En 2024, une étude à partir d'une base de données d'assurance maladie taïwanaise a porté sur le lien entre un risque d'anévrisme de l'aorte ou de dissection aortique et la prise d'antitumoraux anti-VEGF. Les médicaments étudiés ont été le sorafénib (Nexavar° ou autre), le sunitinib (Sutent° ou autre) et le pazopanib (Votrient°) (1).

La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Faites le choix de l'indépendance

et accédez à tous nos contenus

à partir de 19€ par mois

Abonnez-vous