Nalméfène + opioïde : syndromes de sevrage gravesEn 2024, les centres régionaux de pharmacovigilance de Poitiers et de Bordeaux ont rappelé les risques, chez les patients prenant un opioïde, de la prise de nalméfène (Selincro°), autorisé dans la réduction de la consommation d'alcool (1).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous