Surprescription d'IPP : mortalité et morbidité accruesEn 2024, une équipe allemande a publié une étude réalisée à partir d'une base de données d'une assurance santé allemande, portant sur des patients exposés à un inhibiteur de la pompe à protons (IPP) pendant et après un séjour dans une unité de soins intensifs en 2017 et 2018 (1).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous