Acide valproïque et dérivés : une diminution, mais encore trop de femmes enceintes exposées

 En 2015, l'Agence française du médicament (ANSM) a mis en place diverses mesures pour éviter d'exposer des enfants à naître à la tératogénicité de l'acide valproïque (Dépakine° ou autre) et ses dérivés. Début 2020, cette agence a publié des données de l'évolution de l'exposition à ces médicaments entre 2013 et mi-2019 chez les femmes en âge d'être enceintes (âgées de 15 ans à 49 ans), à partir des données du système national des données de santé (SNDS). L'étude a aussi porté sur les femmes qui ont accouché entre 2013 et 2018 (1,2).

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