Exposition in utero aux corticoïdes : risque accru d'infections graves durant la première année de vieChez les femmes enceintes, en cas de menace d'accouchement prématuré avant 34 semaines d'aménorrhée, l'efficacité d'une corticothérapie (série de 2 injections intramusculaires à 24 heures d'intervalle) est démontrée pour prévenir les détresses respiratoires chez les nouveau-nés (1). Cela augmente-t-il le risque d'infections chez les enfants ainsi exposés in utero ?La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous