Écrire "burn-out" dans un arrêt de travail sans avoir contacté le médecin du travail n'est pas fautifLa prévalence de la souffrance psychique liée au travail est en augmentation en France. Elle a été multipliée par deux entre 2007 et 2019, passant d'environ 2,5 % à 6 % chez les femmes et de 1,4 % à 2,5 % chez les hommes (1). Les médecins qui font face à des demandes d'arrêt de travail dans ce contexte peuvent hésiter au moment de préciser les éléments d'ordre médical.La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous