Le travail de nuit "cancérogène probable"En France, selon des enquêtes menées en 2016 et 2017, environ un salarié sur six déclare travailler régulièrement ou occasionnellement la nuit (a)(1,2). Cette proportion semble stable, identique à celle de 2005 (1). Le nombre de personnes concernées en France a toutefois augmenté par rapport au début des années 1990. Plusieurs millions de salariés travaillent la nuit, davantage des hommes que des femmes, dans certains secteurs, notamment le tertiaire, plus que dans d'autres (1à4). Dans la fonction publique d'État et dans la fonction publique hospitalière, la part des salariés concernés est respectivement de 22,3 % et 26,7 % (2).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous