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Insuline icodec (AWIQLI°) et diabète de type 1 ou de type 2

Chez les patients atteints d'un diabète de type 1, une insulinothérapie dite intensive est le traitement de référence (1). Sans pompe à insuline, l'insulinothérapie intensive associe le plus souvent une injection quotidienne d'une insuline d'action prolongée avec une injection d'un analogue d'action rapide de l'insuline à chaque repas (2). Diverses insulines d'action prolongée en injections quotidiennes sont commercialisées dans l'Union européenne, dont des analogues de l'insuline tels que l'insuline dégludec ou l'insuline glargine (3)

Carbonate de calcium + bicarbonate de sodium + 5 plantes (NEOBIANACID°) et brûlures d'estomac, remontées acides ou dyspepsie

Les sensations de brûlures d'estomac ou de l'œsophage sont en général liées à une irritation de la muqueuse œsophagienne, gastrique ou duodénale. La dyspepsie est un ensemble de troubles fonctionnels à l'origine d'une sensation de digestion difficile et parfois douloureuse (1,2)

Vaccin dengue tétravalent à virus atténué et modifié (QDENGA°)

En France, la dengue est de plus en plus fréquente, en zone endémo-épidémique dans certains départements et régions d'outre-mer, et aussi avec des cas importés ou sporadiques en France hexagonale (1,2). Le virus de la dengue (DENV en anglais) comporte 4 sérotypes connus, DENV-1 à DENV4, transmis par des moustiques du genre Aedes. En zone endémique, les enfants âgés de 2 à 15 ans sont les plus à risque d'infection symptomatique. Une première infection entraîne une immunité durable vis-à-vis du sérotype en cause. Une évolution vers une forme grave, parfois mortelle, survient chez environ 2 % à 5 % des patients ayant des symptômes, en général à l'occasion d'une deuxième infection, quand le sérotype en cause diffère de celui de la première infection. Une telle forme grave semble résulter d'une réaction immunitaire complexe lors de la 2e infection (1,2)

Troubles sexuels d'origine médicamenteuse chez les femmes

Chez les femmes, les troubles sexuels, permanents ou non, augmentent avec l'âge et la détérioration de l'état de santé. Environ 40 % des femmes dans le monde seraient gênées par des troubles sexuels. Il s'agit surtout d'une diminution du désir sexuel, d'une diminution de l'excitation sexuelle, de difficultés à atteindre l'orgasme. Ces troubles ont des répercussions sur la qualité de vie. Des douleurs survenant pendant ou en dehors des rapports sexuels affectent aussi l'activité sexuelle (lire l'encadré "Troubles sexuels féminins, en bref") (1à4)