Adrénaline et arrêt cardiorespiratoire Face à un adulte en arrêt cardiorespiratoire en dehors de l'hôpital, dans l'attente d'une unité mobile de réanimation, appliquer au plus tôt les gestes de survie en priorisant le massage cardiaque externe augmente la survie sans séquelle neurologique (1,2). Une défibrillation par choc électrique externe est à mettre en œuvre dès que possible en cas de fibrillation ventriculaire ou de tachycardie ventriculaire (1). En cas d'échec de ces techniques, l'adrénaline, à la dose de 1 mg par voie intraveineuse toutes les 3 à 5 minutes, augmente les chances de reprise circulatoire et de survie (1). Qu'en est-il de la survie sans séquelle neurologique après administration d'adrénaline ?La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous