Olaparib en monothérapie et cancer de l'ovaire après au moins deux lignes de chimiothérapieChez les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire dit avancé (c'est-à-dire s'étendant au-delà du pelvis), en cas de rechute plus de six mois après la fin d'une chimiothérapie à base d'un sel de platine, le cancer est dit sensible au platine. Le premier choix est alors à nouveau une chimiothérapie à base d'un sel de platine (1).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous
Avis sur les médicamentsOlaparib (LYNPARZA°) en association avec le bévacizumab et cancer de l'ovaire