Début 2018, chez les patients atteints d'une forme récurrente-rémittente de sclérose en plaques, les médicaments proposés en "traitement de fond", le plus souvent des substances aux propriétés immunodépressives, sont décevants : ils sont peu efficaces et à l'origine de nombreux effets indésirables graves (1,2)
Accéder au sommaire du numéro :