La fréquence des infections urinaires augmente pendant la grossesse. Les modifications anatomiques des voies urinaires induites par la grossesse prédisposent aux pyélonéphrites. De plus, la grossesse s'accompagne d'un certain degré d'immunodépression qui expose aux infections (1). Le risque de pyélonéphrite aiguë est augmenté chez les femmes enceintes ayant une bactériurie asymptomatique non traitée (1). En l'absence de traitement, les infections urinaires sont un facteur de risque de prématurité (1,2)
Accéder au sommaire du numéro :