Antidépresseurs IRS et grossesse : troubles neuropsychiques à long terme ? (suite)Les antidépresseurs inhibiteurs dits sélectifs de la recapture de la sérotonine (IRS) traversent le placenta et ont des effets somatiques sur les nouveau-nés exposés in utero, notamment : hypertensions artérielles pulmonaires persistantes, troubles du rythme cardiaque par allongements de l'intervalle QT de l'électrocardiogramme avec le citalopram et l'escitalopram (1,2). Ces psychotropes exposent le nouveau-né à des troubles neuropsychiques visibles dès la naissance, liés à une accumulation de l'antidépresseur et ensuite à un syndrome de sevrage : agitation, troubles du tonus, convulsions, etc. (3à5).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous
DiversPrescrire en questions : exposition in utero à des psychotropes : quels risques pour le nouveau-né ?
Effets indésirablesAntidépresseurs IRS in utero : allongements de l'intervalle QT chez les nouveau-nés
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