Eskétamine (SPRAVATO°) et dépression avec risque suicidaire élevéChez les adultes souffrant de dépression, quand le risque suicidaire paraît élevé, chercher à établir une relation de confiance dans un environnement protégé est un premier objectif. Une hospitalisation en urgence est alors souvent nécessaire. L'intérêt des antidépresseurs est limité, en raison : de l'absence d'efficacité démontrée pour réduire le risque de suicide ; d'un long délai d'action (plusieurs semaines) ; et d'un risque accru de passage à l'acte en début de traitement, surtout chez les jeunes adultes. Une benzodiazépine ou un neuroleptique sédatif semble parfois utile pour apaiser la souffrance psychique (1à4).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous