Agonistes du GLP-1 : dépressions, idées ou gestes suicidaires ?

Début juillet 2023, le Comité de pharmacovigilance de l'Agence européenne du médicament (PRAC) a décidé d'ouvrir une enquête sur les agonistes du GLP-1, à la suite de cas d'idées suicidaires et d'automutilation notifiés dans l'Union européenne, imputés à deux agonistes du GLP-1 autorisés dans la perte de poids et le diabète de type 2 : le liraglutide et le sémaglutide injectable ou oral (1,2).

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