prescrire.org > Tous les articles en Une > Les 100 derniers > Pour mieux soigner : enrichir et mettre à jour ses choix thérapeutiques

Article en Une

Chaque mois, la Rédaction publie des informations en accès libre.

Les 100 derniers :  1 | 10 | 20 | 30 | 40 | 50 | 60 | 70 | 80 | 90

Pour mieux soigner : enrichir et mettre à jour ses choix thérapeutiques

Le tri des éléments les plus marquants de l'année 2023.

Pour des soins de qualité, il est important de distinguer les informations solides et pertinentes pour les patients des données biaisées ou inutiles, sans confondre progrès thérapeutique et "innovation" à visée commerciale.

Ce tri élaboré par Prescrire rassemble sur 23 pages, sous un format pratique et par domaine de soins, les éléments marquants de l'année 2023 en situation de premier recours.

Diverses données apportent des éléments utiles pour mieux soigner : par exemple, choisir un hypoglycémiant chez les patients atteints d'un diabète de type 2 quand la metformine (Glucophage° ou autre) ne suffit pas ; envisager des autoprélèvements vaginaux pour la détection de certains papillomavirus humains afin de dépister les cancers du col de l'utérus ; prendre le temps pour ne pas méconnaître une dépression chez les adultes, ni "étiqueter" à tort certains patients ; adapter la stratégie thérapeutique chez les patients atteints d'un asthme modéré à sévère non contrôlé.

Plusieurs médicaments ayant un intérêt clinique démontré dans diverses situations sont à retenir, en prenant en compte leurs effets indésirables : par exemple, le nirsévimab (Beyfortus°) en prévention des infections par le VRS chez certains nourrissons ; et le vaccin RSVPreF (Abrysvo°) chez les femmes enceintes en prévention de ces infections chez leur enfant après la naissance.

Des données permettent de mieux cerner la balance bénéfices-risques chez les enfants des vaccinations contre la rubéole, les oreillons, les rotavirus ou la grippe.

Des médicaments sont parfois en cause dans divers troubles : par exemple, les anti-CGRP tels que l'érénumab (Aimovig°), utilisés notamment en prévention des crises de migraine, exposent à des chutes plus ou moins complètes et définitives des cheveux ou des poils (alopécies) ; les anticoagulants inhibiteurs du facteur Xa (alias xabans) exposent à des pneumopathies interstitielles.

Élaboré par la Rédaction
©Prescrire 1er janvier 2024

• Texte complet : 

"Pour mieux soigner : enrichir et mettre à jour ses choix thérapeutiques. Le tri des éléments les plus marquants de l'année 2023" Rev Prescrire 2024 ; 44 (483) : 37-59. Accès libre.

Je m'abonne à Prescrire
Partager
Partager sur Facebook Partager sur Twitter


À découvrir :

Tous les Articles en Une
depuis 2002
Accès libre >