Triptoréline (DÉCAPEPTYL LP°) et certains cancers localisés de la prostate Chez les patients atteints d'un cancer localisé de la prostate à risque élevé d'aggravation, une dépression androgénique par un agoniste de la gonadoréline (alias Gn-RH), en association avec une radiothérapie, réduit la mortalité liée au cancer. En France, la leuproréline (Eligard° ou autre) a été le premier agoniste de la Gn-RH autorisé dans cette situation (1).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous