Abaloparatide (ELADYNOS°) et ostéoporose postménopausique Chez les femmes ménopausées, la prévention des fractures liées à une fragilité osseuse repose principalement sur la prévention des chutes et la pratique régulière d'exercices physiques (1). Quand une prévention médicamenteuse est choisie, notamment pour prévenir une nouvelle fracture chez les femmes qui ont déjà eu une fracture consécutive à un traumatisme de faible intensité, un diphosphonate tel que l'acide alendronique est le premier choix à condition que les apports en calcium et vitamine D soient suffisants. Il évite environ 3 fractures symptomatiques vertébrales et 1 fracture du col du fémur pour 100 patientes traitées pendant 3 ans (2). Par voie orale, un diphosphonate expose notamment à des : dysphagies, brûlures rétrosternales, douleurs à la déglutition, œsophagites ; ainsi qu'à des hypocalcémies, douleurs ostéomusculaires, ostéonécroses de la mâchoire (3). La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecter Faites le choix de l'indépendance et accédez à tous nos contenus à partir de 19€ par mois Abonnez-vous
Stratégies de soinsRaloxifène et tériparatide en prévention des fractures ostéoporotiques chez les femmes ménopausées