Patients greffés : exposés aux erreurs de dose d'immunodépresseurs

À la suite d'une greffe, un traitement immunodépresseur vise à protéger simultanément l'organe greffé et le patient. C'est un traitement de longue durée, d'où un relâchement possible de la vigilance des soignants et de l'observance des patients (1à3). Une sous-dose expose à un rejet du greffon ou à une maladie du greffon contre l'hôte dans le cas d'une greffe de moelle osseuse. Une surdose expose à un surcroît d'effets indésirables, notamment infectieux, parfois graves (1,2,4,5). Voici quelques observations, dont un signalement au programme Éviter l'Évitable.

La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Faites le choix de l'indépendance

et accédez à tous nos contenus

à partir de 19€ par mois

Abonnez-vous