Codéine, dihydrocodéine, nalbuphine, poudre d'opium et tramadol : un entretien pharmaceutique pour avertir du risque de dépendance

En France, le nombre d'hospitalisations et de morts liées à l'usage d'antalgiques opioïdes a nettement augmenté depuis les années 2000. Une enquête française menée en 2021 a montré, avec le tramadol et la codéine, des usages prolongés fréquents, des utilisations souvent injustifiées, des difficultés à arrêter ou diminuer les doses, et, globalement, une méconnaissance des risques de ces opioïdes (1). Une autre enquête menée en 2021-2022 a pointé les difficultés de médecins généralistes exerçant dans diverses structures à envisager ou déceler une dépendance chez leurs patients, la dépendance étant souvent signalée par un autre médecin, un infirmier ou un pharmacien (2).

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