Leuproréline (Eligard°) : la préparation de la dose à injecter reste complexe et source d'erreursLa leuproréline, comme d'autres agonistes de la gonadoréline (alias agonistes de la Gn-RH ou LH-RH), est utilisée entre autres pour provoquer une dépression androgénique chez des patients atteints d'un cancer de la prostate, et ainsi diminuer la "stimulation" des cellules cancéreuses par la testostérone. Dans cette situation clinique, la leuproréline n'a pas d'avantage démontré sur la goséréline (Zoladex°), l'agoniste de la gonadoréline le mieux évalué (1,2). La leuproréline est notamment commercialisée en France sous le nom commercial Eligard° depuis les années 2000, avec 3 dosages : 7,5 mg, 22,5 mg ou 45 mg par seringue de poudre. Trois autres spécialités contenant de la leuproréline sont autorisées dans la même situation clinique en France : Enantone LP°, Leptoprol° et Zeulide° (3).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous