Paracétamol et atteintes hépatiques : un message d'alerte sur les boîtes

Le paracétamol est l'antalgique de premier choix dans les douleurs légères à modérées, y compris chez la femme enceinte, à condition de ne pas en banaliser l'emploi. Le paracétamol expose à moins d'effets indésirables que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), qui sont à exclure pendant toute la grossesse. Mais en cas de surdose de paracétamol, des atteintes hépatiques graves, nécessitant parfois une greffe du foie, et des insuffisances rénales sont à prévoir. Or, les résultats de plusieurs études françaises montrent que les patients connaissent mal les dangers du paracétamol, alors qu'il est couramment utilisé en automédication (1,2).

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