Arrêt d'un traitement par inhibiteur de la pompe à protonsLes inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont parmi les médicaments les plus prescrits (1,2). En France, en 2015, environ 16 millions de patients ont eu au moins un remboursement d'IPP. Cette estimation ne prend pas en compte les IPP dispensés sans ordonnance et non remboursés. En outre, ils semblent souvent utilisés de manière inappropriée, notamment dans des situations ne justifiant pas leur utilisation, à des doses trop élevées ou prolongés de manière inutile (1,3,4).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 19€ par mois Abonnez-vous
DiversInhibiteurs de la pompe à protons : savoir éviter des risques injustifiés, et savoir "déprescrire"